NEW YORK – La communauté internationale doit se munir de toute urgence de nouveaux outils, de nouvelles idées et initiatives afin de pouvoir faire face aux menaces et de relever les défis communs qui attendent les 193 pays membres des Nations Unies. Le 75e anniversaire de cette institution mondiale, qui sera fêté le 24 octobre, est une occasion de définir une marche à suivre pour les partenariats nécessaires en vue faire faire aux défis qui nous attendent dans les années et les décennies à venir. Suite à la pandémie de COVID-19 – la crise la plus grave et la plus chère depuis la Deuxième Guerre mondiale – le besoin de reprise économique et de renouveau n'a échappé à personne.
Au nombre des menaces qui nous entourent figurent notamment des menaces et des défis qui, au-delà de la pandémie, sont le changement climatique accéléré, le conflit violent et des déplacements de population de grande envergure dans des États faibles et les cyber-attaques sophistiquées. Un point commun entre ces défis, c'est qu'aucun pays ne pourra les résoudre unilatéralement. La coopération internationale est essentielle, mais cette dernière est mise en péril par la résurgence du nationalisme qui menace la structure même de l'ordre international établi il y a 75 ans de cela.
La montée du nationalisme augmente le risque que la structure et les institutions du système des Nations Unies, indispensable malgré son besoin indéniable d'une cure de jouvence, finisse au contraire par décliner, s'affaiblir et s'effondrer. Une issue de ce genre serait tragique, non seulement pour ces institutions, mais pour l'humanité tout entière.
NEW YORK – La communauté internationale doit se munir de toute urgence de nouveaux outils, de nouvelles idées et initiatives afin de pouvoir faire face aux menaces et de relever les défis communs qui attendent les 193 pays membres des Nations Unies. Le 75e anniversaire de cette institution mondiale, qui sera fêté le 24 octobre, est une occasion de définir une marche à suivre pour les partenariats nécessaires en vue faire faire aux défis qui nous attendent dans les années et les décennies à venir. Suite à la pandémie de COVID-19 – la crise la plus grave et la plus chère depuis la Deuxième Guerre mondiale – le besoin de reprise économique et de renouveau n'a échappé à personne.
Au nombre des menaces qui nous entourent figurent notamment des menaces et des défis qui, au-delà de la pandémie, sont le changement climatique accéléré, le conflit violent et des déplacements de population de grande envergure dans des États faibles et les cyber-attaques sophistiquées. Un point commun entre ces défis, c'est qu'aucun pays ne pourra les résoudre unilatéralement. La coopération internationale est essentielle, mais cette dernière est mise en péril par la résurgence du nationalisme qui menace la structure même de l'ordre international établi il y a 75 ans de cela.
La montée du nationalisme augmente le risque que la structure et les institutions du système des Nations Unies, indispensable malgré son besoin indéniable d'une cure de jouvence, finisse au contraire par décliner, s'affaiblir et s'effondrer. Une issue de ce genre serait tragique, non seulement pour ces institutions, mais pour l'humanité tout entière.