LONDRES - On a du mal à imaginer le G20 en champion de la justice sociale. Le journaliste du Financial Times Alan Beattie, soulignant l'absence de direction claire du groupe, l'a un jour comparé à un « cheval de pantomime conduit par une troupe de clowns ». Mais la présidence brésilienne offre l'occasion de changer cette perception.
LONDRES - On a du mal à imaginer le G20 en champion de la justice sociale. Le journaliste du Financial Times Alan Beattie, soulignant l'absence de direction claire du groupe, l'a un jour comparé à un « cheval de pantomime conduit par une troupe de clowns ». Mais la présidence brésilienne offre l'occasion de changer cette perception.