BEYROUTH – Le débat à l’échelle internationale des dernières semaines gravitait autour de l’initiative du président américain Barack Obama visant à bloquer la progression du prétendu « État » islamique en Irak et en Syrie, également désigné sous le vocable de Daech. Une autre force est aussi apparue en guise de rempart improbable contre les chefs d’un califat autoproclamé que la plupart qualifient de barbares ou de disjonctés. J’ai nommé : le pluralisme libanais. Car, malgré les lacunes de son système politique, le Liban pourrait bien servir de modèle pour la gestion de la diversité culturelle afin de rejeter le radicalisme dans des sociétés instables et divisées.
BEYROUTH – Le débat à l’échelle internationale des dernières semaines gravitait autour de l’initiative du président américain Barack Obama visant à bloquer la progression du prétendu « État » islamique en Irak et en Syrie, également désigné sous le vocable de Daech. Une autre force est aussi apparue en guise de rempart improbable contre les chefs d’un califat autoproclamé que la plupart qualifient de barbares ou de disjonctés. J’ai nommé : le pluralisme libanais. Car, malgré les lacunes de son système politique, le Liban pourrait bien servir de modèle pour la gestion de la diversité culturelle afin de rejeter le radicalisme dans des sociétés instables et divisées.