NEW YORK – Imaginez un monde dans lequel un réseau mondial de professionnels de la médecine surveillerait les souches émergentes de virus contagieux, actualiserait périodiquement les formules établies pour la vaccination contre ces virus, et communiquerait ensuite les informations disponibles aux pays et entreprises du monde entier. Imaginez que ces travaux puissent être menés sans considérations de propriété intellectuelle (PI), que les monopoles pharmaceutiques n’existent pas, et qu’ils ne soient par conséquent pas en mesure d’exploiter le désespoir du public pour maximiser leurs bénéfices.
NEW YORK – Imaginez un monde dans lequel un réseau mondial de professionnels de la médecine surveillerait les souches émergentes de virus contagieux, actualiserait périodiquement les formules établies pour la vaccination contre ces virus, et communiquerait ensuite les informations disponibles aux pays et entreprises du monde entier. Imaginez que ces travaux puissent être menés sans considérations de propriété intellectuelle (PI), que les monopoles pharmaceutiques n’existent pas, et qu’ils ne soient par conséquent pas en mesure d’exploiter le désespoir du public pour maximiser leurs bénéfices.