TEL AVIV – Après cinq élections consécutives en trois ans, dont quatre ont abouti à une impasse politique, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou est parvenu en fin d’année à former une coalition composée de partis de droite et de partis ultra-orthodoxes. Mais plutôt que de rétablir la stabilité d’un système politique israélien de plus en plus dysfonctionnel, Netanyahou use de son sixième mandat à la tête du pays pour promouvoir une vague de réformes constitutionnelles qui, si elles étaient adoptées, transformeraient Israël en une autocratie.
TEL AVIV – Après cinq élections consécutives en trois ans, dont quatre ont abouti à une impasse politique, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou est parvenu en fin d’année à former une coalition composée de partis de droite et de partis ultra-orthodoxes. Mais plutôt que de rétablir la stabilité d’un système politique israélien de plus en plus dysfonctionnel, Netanyahou use de son sixième mandat à la tête du pays pour promouvoir une vague de réformes constitutionnelles qui, si elles étaient adoptées, transformeraient Israël en une autocratie.