TEL AVIV – Durant la campagne électorale américaine qui vient de s’achever, je n’ai pas consulté les sondages d’opinion, ni étudié les prédictions « basées sur des éléments factuels », ni parcouru les analyses « d’experts » concernant l’élection. Dès que j’ai observé que plusieurs personnalités de la pop culture américaine parmi les plus célèbres faisaient campagne pour la vice-présidente Kamala Harris – de Taylor Swift à Beyoncé, en passant par Oprah Winfrey et Bruce Springsteen – j’ai su que la candidate allait perdre.
TEL AVIV – Durant la campagne électorale américaine qui vient de s’achever, je n’ai pas consulté les sondages d’opinion, ni étudié les prédictions « basées sur des éléments factuels », ni parcouru les analyses « d’experts » concernant l’élection. Dès que j’ai observé que plusieurs personnalités de la pop culture américaine parmi les plus célèbres faisaient campagne pour la vice-présidente Kamala Harris – de Taylor Swift à Beyoncé, en passant par Oprah Winfrey et Bruce Springsteen – j’ai su que la candidate allait perdre.