MOSCOU – Contrairement à ce que l’on avait observé durant son premier mandat à la Maison-Blanche, le président élu des États-Unis, Donald Trump, semble déterminé à tenir bon nombre de ses promesses de campagne. Les nominations au sein de son cabinet – celle de Tulsi Gabbard, considérée comme proche du Kremlin, au poste de directrice du renseignement national, ou celle de Robert F. Kennedy Jr., connu pour son scepticisme concernant les vaccins, et amateur de théories du complot, au poste de secrétaire à la Santé et aux Services sociaux – confirment la volonté de Trump de mener une campagne de destruction systématique des institutions américaines et de ceux qu’il perçoit comme des « ennemis intérieurs ». Si l’on en croit son discours de victoire, Trump semble par ailleurs sérieux dans sa promesse de « mettre fin aux guerres », à commencer par le conflit en Ukraine.
MOSCOU – Contrairement à ce que l’on avait observé durant son premier mandat à la Maison-Blanche, le président élu des États-Unis, Donald Trump, semble déterminé à tenir bon nombre de ses promesses de campagne. Les nominations au sein de son cabinet – celle de Tulsi Gabbard, considérée comme proche du Kremlin, au poste de directrice du renseignement national, ou celle de Robert F. Kennedy Jr., connu pour son scepticisme concernant les vaccins, et amateur de théories du complot, au poste de secrétaire à la Santé et aux Services sociaux – confirment la volonté de Trump de mener une campagne de destruction systématique des institutions américaines et de ceux qu’il perçoit comme des « ennemis intérieurs ». Si l’on en croit son discours de victoire, Trump semble par ailleurs sérieux dans sa promesse de « mettre fin aux guerres », à commencer par le conflit en Ukraine.