NEW YORK – Tandis que les États-Unis s’approchent de leur élection présidentielle la plus importante et la plus conflictuelle depuis de nombreuses années, le vote par correspondance occupe tous les débats. Certains y voient une option nécessaire permettant à chacun d’accéder aux urnes en pleine pandémie de COVID-19, notamment pour la classe ouvrière et les minorités, qui présentent des taux d’infection disproportionnellement élevés. D’autres, comme le président Donald Trump, s’opposent vivement à cette proposition de scrutin par correspondance, faisant valoir un potentiel risque de fraude.
NEW YORK – Tandis que les États-Unis s’approchent de leur élection présidentielle la plus importante et la plus conflictuelle depuis de nombreuses années, le vote par correspondance occupe tous les débats. Certains y voient une option nécessaire permettant à chacun d’accéder aux urnes en pleine pandémie de COVID-19, notamment pour la classe ouvrière et les minorités, qui présentent des taux d’infection disproportionnellement élevés. D’autres, comme le président Donald Trump, s’opposent vivement à cette proposition de scrutin par correspondance, faisant valoir un potentiel risque de fraude.