KIGALI – Il fut un temps, encore proche, où un diagnostic de VIH équivalait à une sentence de mort. Le sida, avec la tuberculose et le paludisme, tuait des millions de personnes et débordait les systèmes de santé dans le monde – plus encore en Afrique. Mais le monde a fait front commun. Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, créé en 2002, est une réussite incomparable. La coopération entre pays développés et pays en développement a sauvé 44 millions de vies humaines et le taux de mortalité de ces trois maladies combinées a été réduit de plus de moitié.
KIGALI – Il fut un temps, encore proche, où un diagnostic de VIH équivalait à une sentence de mort. Le sida, avec la tuberculose et le paludisme, tuait des millions de personnes et débordait les systèmes de santé dans le monde – plus encore en Afrique. Mais le monde a fait front commun. Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, créé en 2002, est une réussite incomparable. La coopération entre pays développés et pays en développement a sauvé 44 millions de vies humaines et le taux de mortalité de ces trois maladies combinées a été réduit de plus de moitié.